Quelques chiffres
Quelques données statistiques
Pour plus d’informations, consultez le dossier complet sur le site de l'INSEE.
Plus petite commune de l'Aveyron, Arnac-sur-Dourdou possède un petit patrimoine rural que l'association La Clote rénove depuis sa création en 2001.
Arnac-sur-Dourdou est situé dans le sud Aveyron et aux limites du Tarn et de l'Hérault. Son charme, c'est sa situation géographique à 70 km de la mer et niché dans cette belle vallée verdoyante du Dourdou.
L'agriculture et l'élevage, qui étaient les richesses d'hier, ont été remplacés par l'exploitation des forêts qui couvrent 90 % de la commune.
Aujourd'hui, les élus d'Arnac entretiennent et font vivre ce patrimoine avec peu de moyens mais des projets se font jour pour l'avenir.
Balaguier-sur-Rance, village du sud Aveyron, est divisé en deux parties situées de part et d'autre de la rivière, le Rance.
Balaguier le Maigre (ou le Vieux), sur la rive droite, avec ses maisons accrochées sous un éperon rocheux qui a porté un ouvrage fortifié dont il ne reste aucune trace.
Sur la rive gauche, Balaguier le Gras, avec l'église, la mairie et un château des XVe et XVIe siècles. Les deux rives sont reliées par un pont en pierre du XVe siècle.
Belmont-sur-Rance est un village situé au cœur du Rougier en Sud-Aveyron. Même si la présence humaine sur le territoire Belmontais est attestée au Néolithique, par la découverte de stèles gravée « statues menhir », il faut attendre le IXème siècle pour trouver une trace d’un monastère bénédictin. La vie religieuse est fortement présente et de nombreuses chapelles sont implantées.
À l’aube de la renaissance, le prévôt Michel de Pontault édifie, sur l’emplacement de l’ancienne église devenue trop petite la Collégiale et sa flèche de 74m. Telles que nous la connaissons aujourd’hui. Elle a été classé monument historique en 1929.
Village pittoresque au confluent de deux vallées étroites et profondes le Sanctus et le Dourdou.
La commune est située sur une zone de transition entre la plaine de Saint-Affrique et les monts de Lacaune, au relief très accidenté. Elle culmine avec le Merdelou, qui est le massif le plus élevé du Sud-Aveyron et recèle plusieurs avens importants. Le climat se rapproche de celui de Lacaune, avec de très fortes précipitations d'octobre à avril, entraînant souvent de fortes crues.
La cité est dominée par la tour de l'ancienne église et les ruines du château féodal.
Brusque fut occupé par l'homme dés la préhistoire (grotte sépulcrale de l'époque énéolithique).
La partie haute du village appelée "le Castelat" représente la partie la plus ancienne avec ses rues étroites et tortueuses où les maisons sont étalées les unes au-dessus des autres. Viguerie, en 833, puis baronnerie.
L'industrie faisant l'importance de la localité. On exploitait une mine d'argent à Prat-Mansel, des forges hydrauliques battaient le fer sur le Dourdou, on extrayant du marbre à Céras.
Chef lieu d'une viguerie carolingienne mentionnée en 883.
La cité fut édifiée sur un mont escarpé dont les vestiges constituent la ville haute.
La porte d'entrée encore visible conduisant au château du seigneur Arnaud du Pont.
L'activité industrielle et artisanale se trouvait sur les rives du Dourdou, au quartier de cloque : fabrique de cadis, moulins à foulon, tanneries, mégisseries, teintureries. Une partie de la population industrielle adhéra au protestantisme après la prise de la ville, par le capitaine de Beaufort en 1563.
En 1586, Camarès était compté parmi les quatre principales villes fortes des protestants du Rouergue.
Le temple protestant fut élevé en 1825 au quartier du Barri, l'hôtel de ville est de 1896, le pont vieux réputé du XIème siècle.
Combret-sur-Rance est un superbe village médiéval du sud de l’Aveyron, situé à la limite du Rougier de Camarés et des Monts de Lacaune. Le village vient d’être labélisé « Petite cité de Caractère », ce qui lui confère un intérêt de tout premier plan. Dans un paysage vallonné détache un éperon Rocheux baigné dans un méandre du Rance. Là, depuis la rivière, s’agrippent les maisons de grés Rouge et les ruelles escarpées du bourg de Combret, dominé par son église en partie Romane et la tour carrée d’un de ses anciens châteaux, Combret n’a rien perdu de son âme.
Fayet est un village de 284 habitants avec une superficie de 1587ha. La commune actuelle de Fayet occupe le territoire des anciennes paroisses de Fayet et de la Roque. Jusqu’à la révolution, celles-ci faisaient partie intégrante de la commune de Brusque. C’est durant la première moitié du XIXème siècle que Tristan II de Clermont-Lodève et où l’un de c’est fils fit construire le château de Fayet, conçu comme résidence d’agrément occupant une place importante dans la possession des familles.
La commune de Gissac se trouve entre les vallées de la Sorgues, du Dourdou et du Grauzou (où ce dernier prend sa source), à une vingtaine de kilomètres au sud de Saint-Affrique. Gissac domine toute la région de Camarès. Deux châteaux à Gissac : celui de Gissac et le château fort de Montaigut du XII siècle.
Historique : Le nom ancien de Gissac était jenciacum (1133). Petite commune dont le passé a laissé de nombreux vestiges gallo-romain (sarcophages, autel de St-Etienne). Le sous-sol de cette commune regorge de richesses : plâtre, eaux minérales. Le pays en tira parti, exploitant très tôt les sources d'Andabre (eau bicarbonatée, sodique et ferrugineuse). Bâti sur son éperon rocheux, le château de Montaigut domine la vallée du Dourdou. Depuis 1968, l'association des Amis du Château de Montaigut a redonné vie au vieux château, un des plus ancien du Rouergue. Centre culturel permanent d'accueil et d'animation : visites, expositions, classes de patrimoine, stages, festival de théâtre.
À visiter :
Un chemin de randonnée pédestre enregistré à l'office de tourisme, des crois discoîdales (recensée sur un ouvrage aux éditions du Rouergue), deux statues menhir une à la Borie d'Alricie (à côté de Monteils), l'autre à Anglas.
Trois églises à Monteils, St Christophe, Anglas.
Fêtes :
Une messe en occitan à Puech Haut fin juillet.
Une grillée de châtaignes début novembre.
La galette des rois en janvier.
Le village situé aux confins du département de l'Aveyron, occupe une position dominante, de par son altitude : 930 mètres.
Côté nord-est, le rougier du Camarès, le Saint-Affricain, Roquefort, les falaises de Millau.
Côté sud-est, les monts de Lacaune. .
La commune de Mélagues se situe à 685 mètres d’altitude dans la vallée du Nuéjouls du canton de Camarés et de l’arrondissement de Millau et fait partie de la Communauté de Communes Monts, Rance et Rougier. Mélagues connaît son apogée durant le XIXème siècle. À l’époque, la commune englobait les villages de Tauriac et Arnac séparés en 1872 et comptait environ 2 000 habitants et maintenant Mélagues compte 70 habitants, les Mélagais. Sa superficie est de 44,51km2. La commune est limitrophe de la ligne d'eaux Méditerranée-Atlantique.
La commune de Montagnol est répartie sur trois villages : Montagnol - Cénomes - Laval.
Le village de Montagnol, comme son nom l'indique, se trouve sur un monticule de terrains schisteux et calcaire du début du primaire, à cheval sur les deux vallées de la Sorgue et de la Nuéjouls. Anciennement, la commune avait un château, dont il ne reste qu'une tour et une porte d'entrée, vestiges d'une ville close.
Au village de Cénomes, on exploitait à l'époque Gallo-Romaine, le cuivre et le plomb. Une de ces anciennes galeries a été utilisée comme cave "bâtarde" pour la fabrication du fromage de Roquefort. Actuellement, cette galerie Gallo-Romaine est classée. Elle est ouverte aux visites lors des journées du patrimoine.
Le plateau de Montfranc est situé sur un plateau très élevé entre la montagne de l'Ouradou et celles de Roquecézière.
Il confine au département du Tarn ; il est traversé par l'ancien chemin de l'Albigeois au Languedoc, converti aujourd'hui en route départementale du Tarn.
Sa fondation est contemporaine de la domination romaine ou peut-être postérieure.
Si nous nous en reportons à l'étymologie du nom (Mons Francorum) à moins, ce qui n'est pas moins vraisemblable, qu'on entende par (franc) un terrain abandonné ou exempt de redevance et de charges quelconques, ce qui est exprimé dans l'idiome patois par (frantz), comme les fueros espagnols.
Si l'on s'en rapporte à une tradition orale la montagne de Montfranc était jadis couverte d'une épaisse forêt, au milieu de laquelle les voyageurs s'égaraient fréquemment, surtout dans la saison des frimas et des neiges, saison toujours rigoureuse à Montfranc à cause de sa grande altitude.
Située sur la rive gauche du Dourdou, Montlaur occupe le noyau de la fertile vallée que cette rivière arrose. La commune comprend par ailleurs les villages de Moulin-Neuf, Briols et Verrières.
Le passé gallo-romain de notre commune reste méconnu, mais il se révèle néanmoins au fil des découvertes (plusieurs villa romaines et fragments de céramiques sigillées de la Gaufresenque).
Le village lui-même est une invitation à la découverte : bénéficiant d'une opération "Coeur de Village", Montlaur fait l'objet d'une valorisation patrimoniale. Il est en effet embellit, et des panneaux illustrant son histoire, son environnement, vous guident dans une découverte à votre rythme.
La commune de Mounès est située sur les contreforts vallonnés des Monts de Lacaune, le relief est composé de plateaux, et crêtes aux sommets relativement plans d'une altitude comprise entre 600 et 900 m. Le Rance et ses affluents ont entaillé le relief de profondes vallées aux pentes abruptes. De nombreuses fermes, hameaux et villages sont disséminés dans une mosaïque de paysages variés.
L'activité de la commune de Mounès est quasi exclusivement tournée vers l'agriculture, l'élevage des bovins et des ovins constituant les deux principaux types d'élevages. Le lait des ovins sert notamment à fabriquer le fameux Roquefort, tandis que le lait de vache sert à fabriquer divers fromages régionaux de grande qualité. La production de viande de qualité fait également partie de l'activité d'élevage pratiqué.
Entre Belmont et Lacaune par le CD 32, à mi-parcours, Murasson apparaît au coeur d'un panorama exceptionnel. Mais le mieux ... c'est de s'y rendre directement.
Ce village ravissant aux portes du Midi, s'élève en terrasses au-dessus des vallées du Liamou et du Laoussou. Les crêtes du Puech del Rey (970m), d'Escrip et de Cabrières encadrent un décor de longues prairies, de bois de châtaigniers et de chênes blancs, de landes à genêts qui embaument, de jardins, de vallées sillonnées d'eaux vives comme leurs truites.
Le village a résisté aux Romains, aux Anglais, aux guerres de religions, à la désertification, à l'ennui.
De grandes familles ont dû vivre là et dans sa constellation de 30 hameaux ; les vestiges du château et plusieurs maisons de caractère en sont témoins.
Loin du vacarme citadin, Murasson vit aujourd'hui sereinement ; au rythme des troupeaux descendant des collines, de son clocher infaillible, des parties de pétanque qui s'éternisent.
Réservé aux amateurs de calme, de grand air et de paysages immenses.
La seigneurie de Peux fut donnée en 1235 à Brenguier de Promilhac par le Comte de Toulouse.
L'église de Notre-Dame fut donnée à Vabres avec l'église St-Michel de Couffouleux.
Au XVe siècle, la seigneurie dépendait de la famille de Clermont-Lodève, qui avait aussi la baronnie de Brusque. La tour carrée attenante au château fut bâtie en 1625 par Claude de Juge, seigneur de Brassac, qui avait acquis la seigneurie ainsi que celles de Frejeville et de Prohencoux en 1613.
Il y eut au bord de la rivière une activité drapière : moulins à foulon au XVIIIe siècle.
Le village est bâti sur un versant de moyenne montagne exposé Est, Sud-Est, et Sud ce qui lui permet de bénéficier d'un ensoleillement important et d'être partiellement protégé des vents du Nord et d'Ouest. Son climat est doux bien que parfois rigoureux certaines journées d'hiver.
Par le passé de nombreuses plantations d'arbres fruitiers et des vignes composaient le paysage bordant les champs et les pâturages exploités par des fermes dont l'élevage bovin et ovin constituait l'activité économique principale de la commune.
De nos jours si le nombres d'exploitations agricoles est moins élevé, l'activité est toujours axée sur l'élevage bovin et ovin, ce dernier exclusivement pour la production du lait de brebis destiné à la fabrication du ROQUEFORT.
Actuellement le paysage se compose de terres agricoles exploitées et de plantations de résineux et de feuillus parmi lesquels bon nombre de châtaigneraies. Plusieurs chemins communaux traversent ces plantations permettant la pratique de la randonnée sans oublier qu'ils sont parcourus la saison venue par les chasseurs et les chercheurs de champignons.
La commune de Rebourguil se situe au centre du territoire intercommunal de "Monts, Rance et Rougier". Sur l'axe routier RD 999, à égale distance d'Albi et de Millau, la commune de Rebourguil est un lieu de forte attractivité notamment sur le plan économique, agricole et de l'habitat.
D'accès facile et doté de services de proximité, la commune connaît un réel développement depuis quelques années.
Cette dynamique est soutenue par l'activité de plusieurs associations et la présence d'équipements collectifs (tenus, salle polyvalente, espaces de jeux et de convivialité, ...).
La commune se compose de deux villages : Rebourguil et Esplas.
Plusieurs éléments sont remarquables : la terre, de couleur rouge foncé, les bâtiments, largement constitués de grès rouge, les coeurs de village possédant chacun un château ainsi que le "Colorado aveyronnais", relief lunaire typique présent à divers endroits sur la commune et particulièrement face au village de Rebourguil, en direction du CD 902.
Saint-Sernin-sur-Rance se situe sur l'axe Toulouse - Millau, à une altitude allant de 288m à 662m.
La commune est bordée par la rivière Rance et possède une base de loisirs exceptionnelle (baignade, pêche, randonnée, découverte de l'environnement, ...), équipée également d'une piscine intercommunale.
Un Office de Tourisme s'y trouve et propose l'accueil, l'information et la promotion du riche tourisme local et environnant.
La qualité de vie et les services aux familles sont importants. La commune de St-Sernin dispose de nombreux services de proximité : commerces, restaurants-café, hôtel, poste, gendarmerie, 2 écoles primaires, bibliothèque, pompiers, médecin, centre de soins, kinésithérapeute, pharmacie, maison de retraite, ambulancier, taxi, 2 garages auto, etc., ... .
De plus, la MFR, créée en 1966, regroupe à elle seule une quarantaine d'emplois et 269 élèves allant de la 4ème au BTS. Celle-ci possède également une double activité en tant que centre de loisirs, affiliée "éthic étapes" (classe découverte, colonies, regroupement familiaux et/ou sportifs et/handicaps) - www.valrance.com .
La vie associative de Saint-Sernin-sur-Rance, elle aussi, est très intense. Elle offre un panel d'activités très variées : divers clubs sportifs (foot, majorettes, gym, yoga, ...), ADMR, club 3ème âge, comité des fêtes, anciens combattants, etc., ...
Saint-Sernin-sur-Rance est un village "authentique" où il y fait bon vivre. Son cadre de vie exceptionnel attire et enchante petits et grands ... découvrir St-Sernin, c'est voyager à travers le temps !
Saint-Sever-du-Moustier est un petit village de moyenne montagne de 200 habitants dans le Sud-Aveyron, dans les contreforts des Monts de Lacaune, à quelques kilomètres du Tarn.
Il est situé à 35 kilomètres de Saint-Affrique, à 1h de route de Millau, d'Albi et de Castres, à 1h30 de Rodez et à 2h de Toulouse et de Montpellier.
Malgré sa taille, il garde une vitalité avec :
Sylvanès, des terres, des forêts, des montagnes et la quête d'un destin.
Un jour, il y a 900 ans, un brigand de grands chemins, se convertit et après avoir restitué le fruit de ses larcins et après un long pèlerinage à Compostelle eut la volonté, avec quelques compagnons, de construire une abbaye cistercienne au milieu des bois sur les contreforts des Monts d'Orb. Cet homme, devenu moine convers, s'appelait Pons de l'géras, le lieu "Silvanès". Sylvanès (les sylvains) que l'on peut traduire par "ceux qui vivent dans la forêt", les sylvanésiens d'aujourd'hui.
L'abbaye au fil des ans attira de nouvelles vocations monastiques et peu à peu la vie, le labeur s'installa dans cette vallée traversée par les ruisseaux Cabot, Carrière - Escure, et Maxels. Fermes et hameaux furent construits pour nourrir, loger les paysans de peu, les moines - mineurs dans les veines toutes proches de cuivre argentifère.
Au siècle dernier, de 1943 à 1945, Sylvanès fut un haut lieu de la Résistance Sud-Aveyronnaise, la commune abrita, aux Bains, au Sarros et à la Ferme St Michel le quartier général du Maquis Paul Clé.
Ainsi donc, Sylvanès, Poste, La Baume, Rigal et les fermes forment une communes. Les gens d'ici, aussi rudes que vigoureux et engagés, malgré l'exode rural, la fermeture des Bains de Sylvanès, ont montré leur volonté, s'appuyant sur la refondation de l'abbaye initiée par André Gouzes en 1970, de continuer à porter l'espoir d'une vie meilleure.
Aujourd'hui, après la modernisation du modèle agricole, le développement du tourisme vert, la création de commerces, l'incontournable festival de l'Abbaye de Sylvanès qui réunit chaque année près de 15 000 spectateurs, la création du Centre Culturel de Rencontre qui ne cessent d'accroître son influence, Sylvanès, dans la tradition et la même abnégation que ses aînés va engager d'autres projets pour tourner une autre page de son "Grand Livre".
Tauriac-de-Camarès se situe dans les contreforts des Monts de Lacaune et est traversé par la Nuéjouls.
Tauriac-de-Camarès est l'un des villages les plus au sud du département de l'Aveyron.
Au XIIe siècle, l'église dépend de l'abbaye de Joncels. Jusqu'à la Révolution, la paroisse de Tauriac fait partie intégrante de la communauté de Brusque.
En 1871, la commune de Tauriac-de-Camarès est créée à partir d'une partie de la commune de Mélagues. On exploitait sur la commune des carrières d'ardoise.